Les récents sondages et études qui fleurissent sur le web sont sans appel. Le nombre de médicaments contrefaits disponibles à la vente prouve que le web est depuis longtemps un acteur majeur de la vente en ligne légale ou illégale de médicaments, avec ou sans ordonnance.

Selon une infographie réalisée par Pfizer[1], l’économie souterraine de ce secteur d’activité est estimée à 75 milliards d’euros par an et entre 50 et 90 % des médicaments achetés par les internautes sont des contrefaçons.

Même si la nouvelle législation française en faveur de la vente en ligne de médicaments sans ordonnance est perçue, à tort, par certains comme un encouragement aux pratiques illégales, d’autres sont déjà convaincus des avantages du web : toujours selon l’infographie de Pfizer, 32% des français achètent leurs médicaments en ligne pour gagner du temps et 32%  le font par souci d’économie.

En réponse à ces attentes et pour décourager la falsification et les réseaux souterrains, le décret du gouvernement français encadre et promeut l’activité des e-pharmacies françaises. Il permet aux habitués de continuer leurs achats en ligne en toute confiance et accompagne ceux qui ont encore des réticences à franchir le pas. Grâce à l’initiative d’ Unooc.fr qui ne référence que les pharmacies autorisées par l’ordre des pharmaciens, même si l’e-pilule semble encore dure à avaler, il n’y a plus de risque de s’étouffer !

Répondre

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *