Un nouveau logo pour les sites agréés de vente en ligne de médicament entre en vigueur le 1er juillet 2015.

Nouveau logo agrément Vente en ligne – qu’est-ce qui change ?

De notre côté, notre avis n’a pas changé : ce nouveau logo est toujours aussi simple à copier / coller pour un site de contrefaçon. En ayant contrôlé sa mise en place sur des sites sérieux, le comportement n’est même pas homogène : il renvoie tantôt vers une section spécifique du site de l’ordre des pharmaciens, tantôt sur la liste globale officielle de site du ministère de la santé… bref, de quoi bien compliquer la vie à l’utilisateur.

Aujourd’hui, pour acheter un médicament en toute sécurité, passer par Unooc reste toujours aussi pratique. Dommage que pour les autorités, on préfère parler des dangers de la contrefaçon plutôt que de mettre en avant les alternatives permettant aisément de les éviter.

Sans surprise, le sénat a validé l’ordonnance de décembre 2012 autorisant la vente en ligne de médicaments. L’ordonnance avait été prise devant l’état de la législation européenne, mais devait également parcourir le circuit législatif français. Ce qui est maintenant fait.

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Le gouvernement poursuit l’information des internautes en mettant en place un portail dédié aux médicaments : medicaments.gouv.fr

Ce nouveau portail facilite l’accès à l’information, en proposant une base de données des médicaments et des substances actives, des questions / réponses, des informations sur la réglementation… On y trouve aussi des dossiers sur le circuit du médicament, les génériques…

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Marisol Touraine, ministre des affaires sociales et de la santé, a annoncé le lancement d’une campagne de communication autour de la vente en ligne de médicaments. Beaucoup de français ignorent en effet la possibilité qui leur est offerte, ou n’ont pas conscience du danger représenté par la contrefaçon.

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Alors que les bonnes pratiques de la vente en ligne sont entrées en vigueur le mois dernier, l’Ordre des pharmaciens, plutôt opposé à la vente en ligne, a signalé 11 sites illégaux.

Sans autorisation de vendre en ligne, ces sites proposaient en plus parfois des médicaments sur ordonnance, comme le Viagra (ou une contrefaçon du Viagra).

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